Les 100 propositions d’Antoine Rocquemont
UNE FRANCE LIBRE DANS UNE EUROPE LIBRE ET DANS UN MONDE MULTIPOLAIRE
France libre, France souveraine, pour laquelle nos aînés se sont tant battus
- Proposer aux Français un changement d’Europe par référendum, quittant l’Union européenne, nouvelle URSS, coûteuse, bureaucratique et confiscatoire, pour la grande Europe des nations, la France retrouvant ainsi sa liberté politique, législative, économique, budgétaire, monétaire et territoriale.
- Construire la grande Europe des nations, celle des peuples libres et souverains, sans traités ni institutions, à 44 pays, de l’Atlantique à l’Oural, où la France passera des accords bilatéraux avec ses partenaires, que ce soit en matière économique, douanière, migratoire, universitaire ou autre.
- Retrouver notre souveraineté territoriale en contrôlant nous-mêmes nos frontières, stoppant ainsi l’immigration illégale et régulant l’immigration légale avec libre passage des travailleurs frontaliers et poids-lourds autorisés (par portails automatiques), passage rapide des Européens avec pièce d’identité, et passage contrôlé des extra-Européens par visa ou titre de séjour.
- Retrouver notre souveraineté législative en la primauté du droit français sur le droit européen, transcrivant ou abrogeant chaque loi européenne en loi française selon qu’elle sert ou dessert les intérêts de la France.
- S’affranchir de la CEDH si celle-ci s’oppose aux intérêts de la France ou à sa souveraineté.
- Mener une politique étrangère indépendante et multilatérale, qui s’adressera à toutes les souverainetés, sans ingérence militaire, et qui défendra d’abord et toujours les intérêts de la France.
- Rééquilibrer la balance géopolitique est-ouest en renouant de bonnes relations avec la Russie, levée des sanctions, laquelle sera un partenaire incontournable de la grande Europe des nations, dans la force de nos intérêts communs et de notre civilisation commune. Concernant la crise ukrainienne, la France proposera une table de négociations entre les différents protagonistes pour des accords de Minsk 3.
- Pour notre indépendance militaire, et pour ne pas avoir à faire des guerres qui ne sont pas les nôtres, retirer la France de l’OTAN, les Etats-Unis restant évidemment nos alliés.
PLUS DE DÉMOCRATIE ET MOINS DE BUREAUCRATIE
La France au pouvoir plus que l’administration au pouvoir
- Redonner la parole aux Français par des Référendums d’Initiative Populaire (RIP) à l’échelle communale, départementale et nationale, pour que vive la démocratie directe.
- Réduire l’obésité et la complexité des administrations, qu’elles soient d’Etat, territoriales ou hospitalières, par un plan de Simplification des Administrations et des Démarches Administratives, plan SADA, baissant par la même occasion leur coût de fonctionnement, réduisant le nombre de fonctionnaires-bureaucrates, tout en améliorant la relation administration-administré.
- Supprimer le niveau administratif des régions en transférant leurs compétences aux départements, simplifiant ainsi le mille-feuille territorial qui génère trop de dépenses, trop de complexité, et qui déplaît aux Français. Les régions, renommées pour l’occasion, garderont leur authentique rôle culturel et touristique.
- Pour un meilleur fonctionnement de notre parlement, proposer une réduction parlementaire de 30%, soit 400 députés au lieu de 577 et 250 sénateurs au lieu de 348, comme cela vient d’être fait en Italie et comme c’était le cas, en France, au début de la Ve république.
- Affirmer une France à l’endroit, qui ne le cède ni à l’inversion des valeurs (déconstruction de l’homme, du genre, de la famille, de la société, de notre civilisation et de notre nation), ni aux tyrannies des minorités, lesquelles agissent de manière anti-démocratique, à force de propagandes financées par notre argent pour imposer leurs vues à la majorité non consentante des Français.
- Remettre dans un équilibre plus juste l’action parfois disproportionnée des magistrats, faisant que ceux-ci ne forment pas un gouvernement des juges empêchant l’action politique, économique ou sociale du gouvernement en place.
- Au nom de notre république, de notre démocratie et de l’indispensable équilibre des pouvoirs, agir pour une justice indépendante et dépolitisée.
- Laisser les Français tranquilles avec moins de lois, moins de règlements et moins de normes, que ce soit dans leur vie quotidienne ou dans leur activité professionnelle, qui entrepreneurs, commerçants, artisans, agriculteurs, éleveurs, pêcheurs et autres, aspirent à davantage de liberté.
UNE FRANCE PROSPÈRE DANS UNE ÉCONOMIE QUI EMBAUCHE
Trop d’impôt tue l’impôt et la prospérité économique
- En cas de sortie de l’Union européenne, laquelle sera décidée par les Français, changer de monnaie en quittant l’euro, monnaie qui va contre nous, pénalisante et surévaluée, pour un nouveau franc, adapté à notre économie, c’est à dire évalué à sa juste valeur, relançant ainsi nos exportations, notre compétitivité et notre emploi.
- Dans le cas d’un passage à un nouveau franc, monnaie d’avenir, la banque de France sera notre banque centrale, battant monnaie, régulant nos taux d’intérêt, et pouvant prêter à l’Etat français à taux zéro, comme c’était le cas avant Maastricht.
- Quitter notre enfer fiscal par un plan de Réduction de 30% des Dépenses Publiques, plan REDEP, sur trois ans, baissant de manière significative les prestations sociales (proposition 21), luttant aussi contre les gaspillages, les obésités d’Etat, les obésités administratives, les subventions excessives (médias, syndicats, associations et autres), en commençant par donner l’exemple à l’Elysée, au gouvernement, dans les ministères et au parlement, avec un train de vie présidentiel réduit de 30% et un gouvernement prévu d’une quinzaine de ministres contre 30 aujourd’hui.
- En parallèle de la baisse de 30% des dépenses publiques, quitter donc notre enfer fiscal par un plan de Réduction de 30% des Prélèvements Obligatoires, plan REPO, réduisant tout d’abord le barème de l’impôt sur le revenu (prévu à trois tranches, 10, 20 et 30%), diminuant également les droits de succession et les droits de donation dans tous les cas de figure, supprimant l’IFI (qui fait fuir les riches dont notre économie a besoin), réduisant de même l’impôt sur les sociétés, tout comme leurs droits de succession, lesquels sont si élevés aujourd’hui qu’ils menacent la pérennité de nos TPE et de nos PME.
- Défiscaliser le travail, c’est à dire diminuer les charges salariales et les charges patronales, en baissant en face les 800 milliards d’euros annuels de prestations sociales, notamment celles allouées aux étrangers, distribuées au monde entier, ainsi qu’en travaillant jusqu’à 65 ans pour un système de retraite moins déficitaire (proposition 22). Un coût du travail abaissé donc, par moins de charges, favorisant ainsi l’emploi et la relocalisation de nos entreprises, lesquelles ont fui la France à cause de son enfer fiscal.
- Rééquilibrer notre système de retraite en l’adaptant à notre temps, c’est à dire à notre espérance de vie, par un âge légal à 65 ans avec 43 annuités, avec décote et surcote et taux plein à 70 ans, avec des pré-retraites possibles seulement en cas de pénibilité, ou alors financées à 100% par un employeur privé, et en abrogeant la mise à la retraite d’office par l’employeur, qu’il soit public ou privé, en la remplaçant par une rupture de contrat optionnelle à partir de 70 ans, laquelle laissera le choix au salarié, ou de prendre sa retraite, ou de retravailler sans limite d’âge.
- Réindustrialiser la France grâce au plan REPO (proposition 20), en la baisse des charges sur les sociétés et la baisse du coût du travail, augmentant ainsi notre compétitivité, ainsi qu’en favorisant l’investissement productif, le développement des nouvelles technologies, de l’automatisation et de la numérisation.
- Mener un patriotisme économique consistant à protéger nos entreprises, nos travailleurs, nos commerçants, nos artisans, nos agriculteurs, nos pêcheurs… des effets négatifs de la mondialisation, favorisant les productions françaises par rapport aux productions étrangères. Sous ma présidence, l’Etat français, comme toute la fonction publique, achètera français d’abord.
- Repenser la PAC en une politique qui défend en priorité l’agriculture française, ses intérêts, ses circuits de production et la qualité de ses produits.
- Libérer le travail en supprimant les sur-normes et les sur-réglementations dans un code du travail simplifié, facilitant les accords employeur-salarié ainsi que la flexibilité du temps de travail.
- Préparer l’emploi en amont par un plan de Réforme de la Formation Professionnelle, plan REFOP, visant l’adéquation : une formation = une embauche, lesquelles formations seront adaptées au monde du travail, mettant ainsi fin au grand gaspillage d’argent public dans ce domaine.
- Préparer l’emploi en amont, c’est à dire à l’école, dans les établissements et les universités publiques, par la mise en adéquation des apprentissages et des formations avec la réalité et les besoins du marché.
- Repenser le RSA en demandant à chaque bénéficiaire de faire 7 heures hebdomadaires de travail solidaire dans un service public : administration, hôpital, Education nationale, mairie, poste, parc, piscine ou autre, palliant ainsi le manque de personnel tout en sortant de l’inactivité et de l’isolement social 2 millions de personnes.
UNE FRANCE HEUREUSE DANS UNE SOCIÉTÉ HARMONIEUSE
Pas de bonheur sans harmonie
- Retrouver notre « Art de vivre ensemble » en luttant contre les communautarismes et les séparatismes, ainsi qu’en assimilant davantage les étrangers vivant légalement sur notre territoire, comme ceux récemment naturalisés.
- Sauver notre paix et notre cohésion sociales en réduisant notre immigration légale au strict minimum (c’est à dire environ 30 000 entrées par an contre 270 000 aujourd’hui), ainsi qu’en raccompagnant dans leur pays d’origine les personnes en situation irrégulière (les programmes d’aide au retour volontaire seront facilités, et les obligations de quitter le territoire appliquées), puis enfin, en recevant les 100 000 demandes d’asile du pays d’origine du demandeur et non de France. Proposition d’autant plus réalisable que nous aurons retrouvé, par la nouvelle Europe, celle des nations, le contrôle de nos frontières.
- Dissuader l’immigration de manière générale en supprimant un certain nombre de prestations sociales distribuées aux étrangers (AME, ADA, RSA…), ainsi qu’en ne versant d’allocations familiales qu’au bout de trois ans et en réduisant au maximum les différentes formes de regroupement familial.
- Supprimer le droit du sol différé, c’est à dire l’acquisition automatique de la nationalité française pour tout étranger né en France ayant atteint l’âge de 18 ans. Celle-ci fera l’objet d’une demande à part entière et ne saurait être attribuée aux mineurs étrangers condamnés qui, devenus majeurs, seront raccompagnés dans leur pays d’origine.
- Pas de régularisation massive ni automatique d’étrangers en situation irrégulière. La France n’en a ni les moyens ni l’intérêt social.
PLUS DE SÉCURITÉ ET MOINS DE LAXISME
Des Français qui se sentent en sécurité chez eux, premier devoir de l’Etat
- Au vu de l’explosion de la délinquance des mineurs, proposer l’abaissement de l’âge de la majorité pénale de 18 à 16 ans.
- Enrayer la délinquance en restaurant l’autorité de l’Etat, notamment à l’école (propositions 61 et 62), par la multiplication des centres éducatifs renforcés ou fermés, et par une vraie réponse pénale, sans laxisme ni défaillance, avec, en bout de chaîne, un nombre suffisant de places de prison, y compris pour les mineurs.
- Renvoyer les délinquants et criminels étrangers condamnés dans leur pays d’origine, que ce soit en début, milieu ou fin de peine, permettant, par là même, de libérer un quart des places de prison.
- Déchoir de la nationalité française tout binational condamné, lequel sera alors raccompagné dans son pays d’origine.
- Reconquérir les zones de non-droit par une lutte sans pitié contre les narcotrafiquants, par des sanctions exemplaires à l’encontre des délinquants, mineurs ou pas, y compris pour l’outrage, l’insulte ou le jet de projectile, et par la création d’une unité spéciale de gendarmerie ou de l’armée formée pour intervenir dans ces zones en collaboration avec la police.
- Donner toute la confiance et l’appui de notre gouvernement à la Police dans sa lutte contre l’insécurité, avec plus d’hommes, plus de moyens, et moins de bureaucratie.
- Revoir le code de procédure pénal quand celui-ci inverse les valeurs du délinquant et celles de la victime.
- Aller vers moins d’aménagements de peine et d’individualisation des peines pour les délinquants, favorisant les peines planchers tout comme les peines automatiques, et faisant en sorte qu’elles soient effectivement exécutées.
- Pour les jeunes délinquants, remplacer les rappels à la loi par des peines de travail d’intérêt général, ceci pour leur inculquer le sens du service comme le sens civique. Travaux d’intérêt général qui pourront être effectués dans l’armée.
- Verbaliser tout délit de dégradation sur voiture, mobilier urbain ou autre, commis par un mineur, par une amende à paiement immédiat, qui non payée, sera prélevée sur les prestations sociales des parents.
- Revoir la loi sur les squatteurs et sur leur expulsion, laquelle est aujourd’hui en scandaleuse défaveur du propriétaire lésé.
UNE FRANCE ÉPANOUIE DANS UNE SOCIÉTÉ LIBRE
Pas d’épanouissement sans liberté
- Rétablir, par la loi s’il le faut, les libertés fondamentales comme la liberté d’expression, la liberté d’opinion, la liberté d’aller et venir et la liberté de travailler.
- Rétablir la liberté de l’école avec un début d’instruction obligatoire à 6 ans et non à 3, avec le droit à l’école à la maison sur simple déclaration et non sur autorisation, avec l’assouplissement de la carte scolaire et de ses dérogations, et avec plus d’autonomie donnée aux établissements, qu’ils soient publiques, sous contrat ou hors contrat.
- Instaurer la liberté vaccinale pour tous : adultes, enfants et nourrissons, comme c’est le cas en Angleterre et en Allemagne, rappelant que la vaccination, comme tout acte médical, nécessite le consentement libre et éclairé du patient ou de son responsable légal. Et pour un choix de liberté, faire en sorte que les vaccins soient disponibles séparément, par deux ou par trois maximum, et avec des adjuvants variés.
- Au nom de la liberté et de l’indépendance médicales, et de par la déontologie du serment d’Hippocrate, dissoudre les ARS ainsi que le Conseil de l’Ordre des médecins qui politisent et uniformisent à mauvais escient la médecine française. Restaurer, par la même, la liberté de prescrire.
- Passer de la dictature sanitaire à la démocratie sanitaire, modèle de société où chaque Français, citoyen avant d’être patient, pourra vivre sans répression policière dans la liberté d’aller et venir, de mettre un masque ou pas, de s’aérer, de faire du sport, de se divertir, d’étudier, de travailler et de se déplacer sans attestation ni passe, qu’il soit sanitaire ou vaccinal, contraires à notre démocratie.
- Mettre un terme à la dérive d’un Etat qui surveille de plus en plus ses citoyens, qui s’immisce dans nos vies comme dans nos villes, nos rues, nos parcs, nos jardins, nos transports, en limitant la vidéo-surveillance aux seules zones de délinquance avérée, rappelant, par là même, le coût élevé de celle-ci, payée par les Français, 24h sur 24, tout comme son caractère intrusif, son atteinte aux libertés fondamentales et son inefficacité face aux visages masqués. Plus généralement, penser en conscience, et à chaque innovation, à un compromis équilibré entre Progrès et Liberté, lequel compromis, s’il ne fut pas nécessaire au XXe siècle par la révolution des transports et de l’électronique, l’est devenu, d’urgence, au XXIe siècle, par la révolution numérique et informatique qui peut tout contrôler désormais, mais qui ne le doit pas.
LA FAMILLE ET L’ENFANT
La vie, miracle de la nature, sans laquelle nous ne serions pas là,
Un père, une mère, piliers de la nature, sans lesquels nous n’existerions pas
- Ne pas céder sur la Vie, trésor de l’humanité, en un contrat entre science et société respectant son caractère sacré, revoyant donc les lois qui y portent atteinte ou qui la dévoient, ne légalisant ni l’euthanasie ni le suicide assisté, établissant aussi que toute équipe médicale qui s’apprête à procéder à une sédation profonde ou à l’arrêt d’une thérapie jugée déraisonnable doive le faire avec l’accord de la famille, par un vote à la majorité, laquelle famille aura aussi le droit de faire transférer son parent vers une autre structure ou encore de l’emmener mourir à la maison.
- Au nom du droit de l’enfant à naître mis en face du droit de la mère d’avorter, équilibre du faible face au fort, ne pas encourager l’avortement en France, la date limite passant de 12 à 9 semaines (le cœur d’un tout petit battant à 6 semaines), avec un délai de réflexion de 7 jours, un remboursement à 50% pour responsabilisation, et la mise en place d’une Procédure d’Adoption-Naissance, la P.A.N., simple et rapide, pour toute femme ne voulant pas garder son bébé sans pour autant vouloir avorter.
- Primauté du droit « de » l’enfant, du petit, donc, sur le droit « à » l’enfant de l’adulte, droit de l’enfant de connaître son père et sa mère biologiques (indispensable à la construction de son identité), droit de l’enfant de ne pas être privé de l’un ou l’autre par le fait de la loi, droit de l’enfant de ne pas être une marchandise avant sa naissance, droit de ne pas être sélectionné ni réduit par la main de l’homme à sa conception, autant de droits se concluant sur une PMA réservée aux seuls couples hétérosexuels infertiles, sans donneur ni donneuse anonyme. Les autres procéderont, comme depuis toujours, par la méthode naturelle.
- Au nom du droit de l’enfant d’être élevé par un père et une mère, (équilibre des genres nécessaire à sa construction), n’autoriser l’adoption qu’aux couples hétérosexuels.
- Faciliter la procédure d’adoption pour les couples hétérosexuels infertiles, adoption qui, contrairement à l’actuelle PMA avec donneur, répare un déséquilibre de filiation mais ne le crée pas.
- Pour ne pas dénaturer le mariage, crucial et ancestral, mur porteur de notre civilisation, ne le réserver qu »aux couples hétérosexuels. Les couples homosexuels bénéficieront d’un PACS amélioré.
L’ÉCOLE ET LA JEUNESSE
France de demain, résultat de la France d’aujourd’hui
- Fin de l’utopie égalitaire dans le système scolaire qui ne marche pas, qui plonge l’Education nationale dans un constat d’échec (médiocrité au classement Pisa), avec de surcroît le mécontentement des parents. Appliquer au contraire le pragmatisme des différences et celui du mérite, à l’image du monde du travail auquel l’école doit préparer et non s’opposer.
- Diversifier le collège en l’adaptant aux réalités du terrain, celles d’une hétérogénéité de niveaux telle que le nivellement se fait toujours par le bas. Y répondre par la création de classes de niveau avec passerelles, où les élèves progresseront ensemble beaucoup plus vite que dans des classes où une moitié freine l’autre.
- Diversifier le collège en l’adaptant encore aux réalités du terrain, celles d’un nombre grandissant d’élèves en décrochage scolaire dès la 6e et que le système ne fait jamais redoubler. Y répondre par la création de classes ou de collèges d’apprentissage professionnel dès la 5e, à démocratiser et à valoriser, avec primauté des matières techniques sur les matières théoriques.
- Restaurer l’autorité du professeur avec des CPE, des principaux et des proviseurs plus stricts dans l’application des punitions comme des sanctions, avec la fin de la culture de l’excuse ou encore de l’inversion de l’autorité faisant qu’en cas de différend l’élève est parfois mis au-dessus du professeur, et enfin avec des heures de retenues gérées par les CPE et surveillants et non par les professeurs.
- Création de classes ou de structures spécialisées accueillant les élèves exclus des établissements et fortement perturbateurs, ceux-là mêmes qui empêchent les classes et les professeurs de travailler, et afin que les établissements cessent le jeu de ping-pong absurde qui consiste à se les échanger.
- Repenser les programmes scolaires pour mieux préparer les élèves au monde du travail et pour leur donner envie, pour susciter des vocations. Remettre notamment sur pieds les grands personnages de l’Histoire sans repentance de la France, affirmant l’identité positive de celle-ci afin que les élèves puissent aimer le pays dans lequel ils travailleront.
- Créer à l’école primaire et au collège un module d’enseignement des règles de savoir-vivre : règle du bonjour, du merci, de l’excuse, du respect de la parole de l’autre sans l’interrompre, de la courtoisie, de la galanterie pour les garçons, du respect de l’environnement, de la propreté et de la tranquillité sonore dans les espaces publics.
- Créer à l’école primaire et au collège un module de sensibilisation aux effets négatifs de l’utilisation excessive des écrans (téléphones, tablettes, jeux vidéo) ainsi que du danger des réseaux sociaux. Plus généralement, diffusion d’une campagne nationale « Vie sans écran, vie qui reprend », pour sensibiliser tous les Français, parents comme enfants, aux effets négatifs des journées pleines d’écran : rupture présentielle, rupture relationnelle, rupture communicationnelle, rupture affective, rupture éducative, et pour finir, manque d’activité physique.
- La France étant hélas, championne d’Europe de consommation de cannabis, drogue extrêmement nocive pour le cerveau des enfants et pour leur équilibre psychique, punir sa consommation et sa détention chez les mineurs par une amende à paiement immédiat qui, non payée, sera prélevée sur les prestations sociales des parents.
- Afin de faciliter l’arrivée des jeunes sur le marché du travail, pratiquer l’exonération totale des charges sociales pour l’embauche d’un jeune en alternance.
- Pour recréer le lien indispensable entre le jeune et son pays, instaurer un service national « nouvelle génération », civil ou militaire, de 450h fractionnables et obligatoires pour tout jeune garçon de 18 à 25 ans.
UNE ÉCOLOGIE SANS IDÉOLOGIE
Ecologie pour tous, pragmatique et réaliste
- Pour notre santé à tous, nous, Français, comme pour celle de nos agriculteurs, en la qualité de ce que nous mangeons, développer une agriculture la plus saine possible, c’est à dire sans engrais ni pesticides ni alimentation animale prouvés dangereux. En somme, une agriculture à « chimie minimale ».
- Instaurer la liberté de semence, sans monopole étranger, pour tous les agriculteurs et les cultivateurs de France, permettant ainsi une production locale naturelle et authentique tout en favorisant la biodiversité. Encourager, par là même, les « Marchés fermiers » où les petits paysans pourront vendre leurs produits directement aux consommateurs.
- Stop au parc éolien, qu’il soit terrestre ou maritime, non rentable, coûteux, polluant, bruyant, non recyclable et qui de surcroît, défigure nos paysages. Un accent sera mis sur le solaire et l’hydraulique, mais le nucléaire restant l’énergie qui possède de loin le meilleur indice rentabilité-propreté, celui-ci sera maintenu à environ 80% de notre production d’électricité.
- Concernant le réchauffement climatique et la guerre au CO2, la preuve de la responsabilité de l’Homme n’étant pas démontrée (les cycles de réchauffement ayant toujours existé), le premier gaz à effet de serre étant à 72% la vapeur d’eau, et non le CO2 (gaz non polluant, faut-il le rappeler, lequel est nécessaire à la végétation pour la photosynthèse), CO2 produit par l’homme en proportion d’1/20e seulement, la Chine et les Etats-Unis représentant la moitié de ce 20e et notre pays le 100e, la France et les Français n’ont pas à s’infliger de taxes, contraintes et obligations au nom de la théorie très contestable d’un GIEC partisan, lié aux forces de l’argent, alarmiste et catastrophiste. En revanche, la France reconnaîtra le véritable enjeu du XXIe siècle en une démographie mondiale à contrôler, au risque de répercutions importantes sur la planète par la pollution humaine sous toutes ses formes, par la loi du nombre, et non celle du CO2.
- Réduire la pollution automobile : celle du monoxyde de carbone, gaz toxique à l’inverse du CO2, du monoxyde d’azote et du dioxyde d’azote, également toxiques, des hydrocarbures imbrûlés et des particules fines, en réduisant les embouteillages par des bornes de co-voiturage publiques, des réseaux de minibus, des parkings gratuits à l’entrée des grandes villes, et par le développement du transport fluvial par bateaux-bus.
- Réduire encore la pollution et les embouteillages automobiles dans les villes par un plan de rééquilibrage des voies urbaines, plan REVU, entre voitures, bus, trams et vélos, appliqué à tout le territoire national. Par la loi du nombre, les pistes cyclables disproportionnées seront réduites, notamment celles qui privent les voitures d’une voie entière, sans devoir non plus prendre plus de la moitié d’un trottoir pour la priorité aux piétons. De même, certaines voies de bus seront ouvertes aux voitures à certaines heures, ou à toute heure à condition d’être au moins trois dans son véhicule. Enfin, aucun camion poubelle, ni camion de nettoyage, ni autre véhicule de service ne pourra bloquer une voie aux heures de pointes le matin entre 7h30 et 9h30 et le soir entre 17h et 20h.
- Réduire encore la pollution et les embouteillages automobiles, tout comme les nuisances sonores, la surconsommation de carburant et les risques d’accident, par un plan « Vague verte », plan de synchronisation et de rééquilibrage des feux tricolores appliqué sur tout le territoire national. Chose qui aurait dû être faite depuis 30 ans déjà.
- Réduire encore la pollution automobile inutile par un plan « Moteur éteint, je pollue moins », diffusé en campagne de sensibilisation nationale invitant les véhicules stationnant moteur allumé et intoxiquant les piétons (automobilistes au téléphone, chauffeurs de car, de bus, d’utilitaires, postiers, livreurs et autres) à couper leur moteur, tout simplement.
- Réduire la pollution sonore notamment en durcissant les sanctions à l’encontre des deux-roues super-sonores, ceux-là mêmes qui font qu’une seule personne en dérange 10 000 pour le simple plaisir de la pétarade. Inadmissible.
- Réduire la pollution visuelle notamment en durcissant la réglementation du parc publicitaire urbain et rural avec des panneaux qui ne dénaturent ni la beauté des villages ni celle des paysages.
- Réduire la pollution lumineuse notamment en baissant ou en coupant l’éclairage public selon qu’il s’avère agressif pour les yeux ou tout simplement inutile. Proposition générant de surcroît une économie d’argent public.
SUR LES ROUTES DE FRANCE
Liberté automobile pour tous
- Instaurer un contrôle technique automobile tous les trois ans au lieu de deux, avec un prix unique fixé par l’Etat et une réduction de la liste des points de contre-visite.
- Au nom de l’égalité des Français sur les routes, supprimer les interdictions de circuler par Crit’air, contraires à notre démocratie. Instaurer une prime à la reconversion : Diesel ancien – Diesel nouveau, ou encore : Diesel ancien – Moteur à essence nouveau.
- Pour la sécurité de tous, pour regagner du pouvoir d’achat et pour que les routes de France redeviennent propriété des Français, fin des péages autoroutiers.
- Compte tenu des immenses progrès de la sécurité et de la technologie automobiles, tester des tronçons d’autoroute à 150km/h ; les supprimer si la mortalité augmente. Revoir aussi les limitations de vitesse inadaptées qu’il est impossible de respecter en pratique ; les restaurer si la mortalité augmente.
- Revoir à la baisse le retrait de points par infraction commise (pas de retrait notamment pour le non-port de la ceinture qui ne constitue en rien une faute de conduite). Instaurer en parallèle la possibilité de regagner ses points par un travail d’intérêt général dans la sécurité routière.
- Durcissement des sanctions à l’encontre des deux-roues circulant entre les files de voitures, lesquels deviennent agressifs, voire violents si le monde ne s’écarte pas devant eux. Deux-roues dont le taux de mortalité, faut-il le rappeler, reste 20 fois supérieur à celui des automobilistes.
- Au nom d’une force publique à visage humain et de l’équilibre du rapport entre contrevenant et agent verbalisateur, interdire partout en France les vidéo-verbalisations.
- Au nom d’une force publique seule habilitée à verbaliser, sans dérive consistant à faire du chiffre sur le dos des Français, interdire partout en France les verbalisations faites par des organismes privés, procédé abusif et anti-républicain.
- Au nom du droit de rendre visite gratuitement à sa famille ou à ses amis le soir ou le week-end, principe premier de convivialité et de cohésion sociale, instaurer partout en France le stationnement gratuit en semaine après 19h ainsi que les samedis et dimanches toute la journée.
- Pour faciliter la vie des automobilistes de France, imposer à toutes les communes un quota de 10% minimum de places de stationnement gratuit.
- Revoir à la baisse, sur ordre de l’Etat, les prix exorbitants des parkings des gares et des aéroports.
FRANCOPHONIE
Langue française, patrimoine mondial de « notre » humanité
- Remplacer la réforme de l’orthographe de 1990 (que personne n’applique ni n’enseigne) par une nouvelle réforme 2022 mettant à jour notre langue dans son authenticité et son évolution actuelle, sans la dénaturer.
- Demander à l’Académie française d’entreprendre des actions nationales et pédagogiques du bon usage du français, notamment auprès des écoles, par la diffusion d’opuscules du type : « Dire, ne pas dire », ou « Ne pas confondre », ou encore « Alternatives aux anglicismes », et aussi par l’organisation de dictées nationales niveau collège, lycée, et France.
- Stop à l’écriture inclusive qui dénature et maltraite notre langue.
- Interdire l’anglais (et toute autre langue étrangère) comme langue majoritaire de communication, d’appellation, de titre ou d’affichage auprès des usagers des services publics ou de services privés de mission publique tels que transports, gares, aéroports, parcs et plages, mais aussi médias publics, fournisseurs d’eau, de gaz, d’électricité et autres, sous peine d’amende.
- Stimuler le génie littéraire français en organisant des concours de poésies et de nouvelles par région ou par département, pour les petits et les grands.
CES PETITES CHOSES QUI CHANGENT LA VIE
Du bien et du bonheur du peuple, principe premier de toute action politique
- En parallèle du plan de simplification des administrations (détaillé en proposition 10), création d’une agence du « Vivre mieux », laquelle enverra sur le terrain des testeurs de services publics tels que les administrations, les hôpitaux, les transports, les routes, postes, parcs, jardins, piscines et autres, pour en identifier et en corriger les défauts, les manques et les aberrations rencontrées dans le but d’améliorer la vie des usagers.
- Pour plus de confort, de commodité et de convivialité dans les espaces publics, les parcs et les jardins, appliquer un plan « Un banc pour tous » sur tout le territoire national. Banc confortable, avec dossier, et français de surcroît.
- Pour plus de bonheur vert, de détentes, de promenades, de flâneries ou encore d’exercices physiques, prolonger d’une heure ou deux l’horaire de fermeture des parcs et jardins, comme celui des piscines et des bibliothèques publiques. Les bénéficiaires du RSA et les jeunes en service national y contribueront.
- Pour répondre au souhait des Français d’avoir une télévision de meilleure qualité, agir pour des programmes plus enrichissants et moins violents, notamment sur les chaînes publiques.
- « Du sport pour tous », organisant des jeux communaux dans les stades publics pour plus de convivialité et plus de cohésion sociale entre les Français.
Projet du vrai progrès de la France, politique, économique et social, attendu par les Français.
Projet d’une société qui va mieux, plus libre, plus conviviale, plus apaisée, mieux gérée, et qui s’inscrit dans le temps long, c’est à dire l’avenir, le nôtre et celui de nos enfants.
Projet des 10 et 24 avril prochains, par les urnes, où tout peut changer si vous le décidez !
Vive la liberté !
Vive la République !
Et vive la France !